(очаг; сетовать, жаловаться; предсказывать, предвидеть, догадываться; опускаться, осесть, упасть; веретено; спиралью; на свой манер, по-своему; колдовство, злые чары; готовить еду; фыркать; ученик повара; никто, ничто ни одна)
(se promener – прогуляться, пройтись; mettre au monde – родить; vouloir – желать; vivre – жить; pouvoir – мочь; avoir peur – бояться; avoir – иметь; entrer – входить)
1. Lisez ce fragment et dites ce qu’ils ont fait ou ce qu’ils feront dans la suite du conte!
La reine et le roi ont organisé une grande fête. – La reine et le roi organiseront une grande fête.
Une des douze fées invitées à la fête a offert à la princesse la vertu. – Une des douze fées invitées à la fête offrira à la princesse la vertu.
Il était une fois un roi et une reine. Chaque jour ils se lamentaient : « Ah ! si seulement nous avions un enfant. » Mais d'enfant, point. Un jour que la reine était au bain, une grenouille bondit hors de l'eau et lui dit : « Ton vœu sera exaucé. Avant qu'une année soit passée, tu mettras au monde une fillette. » Ce que la grenouille avait prédit arriva. La reine donna le jour à une fille. Elle était si belle que le roi ne se tenait plus de joie. Il organisa une grande fête. Il ne se contenta pas d'y inviter ses parents, ses amis et connaissances, mais il invita aussi des fées afin qu'elles fussent favorables à l'enfant. Il y en avait treize dans son royaume. Mais, comme il ne possédait que douze assiettes d'or pour leur servir un repas, l'une d'elles ne fut pas invitée.
2. Lisez ce fragment et dites ce qu’ils ont fait ou ce qu’ils feront dans la suite du conte!
La treizième fée s'est écriée d'une forte voix : « La fille du roi, dans sa quinzième année, se piquera à un fuseau et tombera raide morte. » – La treizième fée s'écriera d'une forte voix : « La fille du roi, dans sa quinzième année, se piquera à un fuseau et tombera raide morte. »
Chez une grand-mère la princesse a touché le fuseau et s’est piquée au doigt. – Chez une grand-mère la princesse touchera le fuseau et se piquera au doigt.
La fête fut magnifique. Alors qu'elle touchait à sa fin, les fées offrirent à l'enfant de fabuleux cadeaux : l'une la vertu, l'autre la beauté, la troisième la richesse et ainsi de suite, tout ce qui est désirable au monde. Comme onze des fées venaient d'agir ainsi, la treizième survint tout à coup. Elle voulait se venger de n'avoir pas été invitée. Sans saluer quiconque, elle s'écria d'une forte voix : « La fille du roi, dans sa quinzième année, se piquera à un fuseau et tombera raide morte. » Puis elle quitta la salle. Tout le monde fut fort effrayé. La douzième des fées, celle qui n'avait pas encore formé son vœu, s'avança alors. Et comme elle ne pouvait pas annuler le mauvais sort, mais seulement le rendre moins dangereux, elle dit : « Ce ne sera pas une mort véritable, seulement un sommeil de cent années dans lequel sera plongée la fille du roi. » Le roi, qui aurait bien voulu préserver son enfant adorée du malheur, ordonna que tous les fuseaux fussent brûlés dans le royaume. Cependant, tous les dons que lui avaient donnés les fées s'épanouissaient chez la jeune fille. Elle était si belle, si vertueuse, si gentille et si raisonnable que tous ceux qui la voyaient l'aimaient.